Continuer à être Zara Addict et Responsable
Si vous êtes une aficionado de l’enseigne et que vous avez un rendez-vous journalier avec le site en ligne de Zara, vous avez surement dû remarquer un changement, pas vrai ? On vous donne un indice : il est tout nouveau, plus rond et il change de couleur (passant du noir au blanc sans oublier le jaune et le bleu) en fonction des pages. C’est bon, vous voyez de quoi on veut parler ? Si vous adorez cette enseigne mais que vous n’y passer pas tout votre temps, on vous éclaire : la marque que toutes les fahsionistas attire vient de changer de logo. Il s’agit de la troisième fois que cette marque emblématique change son logo (la dernière fois était en 2010). Venez nous dire sur les réseaux sociaux ce que vous en pensez.
Un peu d’histoire Zara
Nous pensons que nous vous ne l’apprendrons pas, la marque Zara est née en Espagne (à La Corogne si on veut être précis) grâce à M. Amancio Ortega. Ce nom vous dit vaguement quelque chose ? C’est normal puisque depuis cette fameuse année, cet homme à construit un empire. En effet, il est désormais à la tête du groupe Inditex qui est bien sûr composé de Zara mais également de Pull & Bear, Stradivarius, Bershka, Massimo Dutti et d’autres. Ce qui a fait la renommée de Zara ? Ce sont bien entendu ses collections tendances qui se renouvellent à une vitesse hallucinante.
Oui mais voila, ça va trop vite pour la planète
Parce que Zara est une marque dont les collections se renouvellent sans cesse, offrant touts les mois (voir toutes les semaines) de nouveaux vêtements, la marque est devenue l’exemple même de ce qu’on appelle désormais la fast fashion. Pendant longtemps, ce renouvellement sans interruption des magasins présents en centres commerciaux faisait le bonheur de tous. En effet, à nous les samedis après-midis shopping à n’en plus finir, sans jamais s’ennuyer, sans jamais avoir peur d’acheter les mêmes tenues que la moitié du bureau. Sauf que voila… on finit par s’ennuyer de quasiment tout. Aujourd’hui, l’industrie de la fast fashion a perdu de son souffle avec des consommateurs qui se sont lassés de toujours acheter plus et qui se sont rendu compte de ce sur quoi ce renouvellement constant reposait (des conditions de travail impensables et des impacts dévastateurs sur l’environnement).
